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Jessica Xavier

23 novembre 2018

Noël : Préparation d'une bûche chic avec le chef pâtissier Hugues Pouget

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COUV PATISSERIE & COMPAGNIE

 

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23 octobre 2018

Peau Douce, notre plan hivernal

N°3-NOV-DEC

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HL03 COUV HD

 

17 octobre 2018

Coloration, on passe au végétal !

stefan-stefancik-204304-unsplash

Alternative naturelle aux colorations chimiques et conventionnelles, la coloration végétale gagne du terrain. À la maison ou en salon, ces teintures green n’ont plus à rougir de leurs résultats. Zoom sur ces produits doux pour nos cheveux et écolo-friendly.

L’engouement pour une beauté durable touche également les colorations capillaires. Longtemps cantonné aux marques bio et confidentielles, le segment intéresse désormais les mastodontes de la beauté comme L’Oréal Professionnel et Garnier qui ont lancé respectivement cette année Botanéa (en salon) et Herbalia (à la maison). "La coloration végétale est devenue glamour, désirable ", commente Christophe-Nicolas Biot créateur de la Maison de Coiffure Christophe-Nicolas Biot et de l’Atelier BioT.

La coloration végétale, qu’est-ce que c’est ?

Un mélange de poudres de plantes tinctoriales séchées et d’eau chaude (pour mieux révéler les pigments). Parmi les plus connues, il y a bien sûr le henné, l’indigo, mais également "le safran, la cannelle, l’abricot ", liste Christophe-Nicolas Biot. Contrairement aux colorations d’oxydation, la coloration végétale naturelle ne contient pas d’éléments chimiques ou de potentiels perturbateurs endocriniens, elle est sans danger pour la santé* et douce pour les cheveux. Autre différence, la teinture végétale est un véritable soin qui gaine, lisse et fait briller la fibre capillaire. "Plus vous faites de colorations classiques, plus les cheveux sont sensibilisés, explique Simon Assoun, co-fondateur des salons Biocoiff’. Alors qu’avec la coloration végétale c’est l’inverse. Vous pouvez en faire toutes les semaines, les cheveux seront de meilleure qualité ! " Cette couleur-soin enrobe le cheveu sans l’ouvrir pour le vider de sa couleur et d’une partie de sa substance, contrairement aux produits conventionnels : "On ne transforme pas la fibre capillaire, on l’embellit ", poursuit Christophe-Nicolas Biot.

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© Stefan Štefančík

10 octobre 2018

L’ortie, un trésor nutritionnel mal-aimé

jan sedivy

Qui s’y frotte s’y pique ! Et pourtant, l’ortie, derrière sa mauvaise réputation, est un véritable trésor nutritionnel. Il est plus que temps de réhabiliter cette "mauvaise herbe" et de découvrir tous ses bienfaits !

L’ortie piquante (ou urtica dioica) pousse partout : dans nos potagers, les parcs, les sous-bois, le long des routes de campagne… Si bien que tout le monde la connaît. Elle est utilisée depuis la nuit des temps par les herboristes et phytothérapeutes pour ses vertus médicinales. Pour le commun des mortels, c’est une plante irritante à laquelle chacun s’est frotté au moins une fois dans sa jeunesse, laissant de tristes souvenirs de démangeaisons ou de cloques. Pourtant, malgré sa mauvaise réputation, l’ortie cache en ses graines, feuilles et racines des vertus nutritionnelles exceptionnelles dont il est dommage de se priver.

Les atouts nutritionnels de l’ortie

Si les feuilles, les graines et les racines peuvent être utilisées ce sont les feuilles qui sont le plus consommées. Véritable cocktail de nutriments, l’ortie est l’une des plantes les plus intéressantes d’un point de vue nutritionnel. Elle est riche en vitamines du groupe B, en vitamine E, en provitamine A, elle contient six fois plus de vitamine C que l’orange.

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© Jan Sedivy

10 septembre 2018

Masques en tissu VS masques classiques, comment faire le bon choix ?

Ian Dooley

Les masques tissus sont très tendance ! Mais sont-ils efficaces au point qu'il faille renoncer aux masques traditionnels (crème, gel, peel-off) ? Éléments de réponse avec nos deux professionnelles représentant les marques Qiriness et Eclae.

Même si les masques tissus et les masques crème visent les mêmes problématiques (hydratation, éclat, matité…), ils ne s’utilisent pas de la même façon et présentent quelques différences.


Masque tissu et masque traditionnel : des textures différentes
Le masque traditionnel se décline en version crème, gel, peel-off, mousse… Le masque tissu jetable (ou sheet mask) est lui en fibres de papier, de coton, en hydrogel ou en bio-cellulose. "Il contient du sérum capturé dans la microfibre, explique Mi-Ryung Beilvert, présidente et fondatrice de la marque Qiriness. Au contact de la peau, cette matière permet d’optimiser la pénétration des actifs. Pendant le temps de pause, la peau assimile un maximum d’actifs pour une efficacité optimale."

Les différences d’utilisation
Les deux types de masques s’appliquent sur une peau nettoyée et démaquillée, plutôt sur peau sèche, même si certains masques crème se posent sur peau légèrement humide. Selon Mi-Ryung Beilvert, le masque tissu "s’utilise à la place du sérum habituel, plusieurs fois par semaine. Il booste l’efficacité des soins quotidiens". Les masques traditionnels eux, s’utilisent une ou deux fois par semaine selon les effets recherchés et le type de peau, "ils ont différents protocoles, mais s’appliquent en dehors de votre routine de soin quotidienne. Il existe des masques rincés, non rincés ou bien qui agissent pendant votre sommeil !" poursuit la professionnelle. Ultra concentrés, les masques tissus nécessitent un temps de pause un peu plus long, entre quinze et trente minutes, pour laisser le temps à la peau de se gorger des actifs, quand une dizaine de minutes suffit généralement pour les autres types de masques.

©ian dooley

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7 septembre 2018

Bouger en famille

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3 septembre 2018

Jus de fruits : pourquoi ils ne sont pas vraiment "healthy"

christine-trant

Même s’ils bénéficient d’une image saine et naturelle, les jus de fruits sont à consommer avec modération. Ils sont en effet loin d’être aussi "healthy" que vous pouvez le penser. L’éclairage de la diététicienne-nutritionniste Florence Rossi, porte-parole de l’AFDN.

Ils trônent en première place sur la table du petit-déjeuner, accompagnent souvent le goûter des enfants, sont une option pour les apéros sans alcool… Les jus de fruits font partie du quotidien des Français, qui en raffolent. Ils ingurgitent 1,5 milliard de litres de jus chaque année (soit 22 litres par habitant), ce qui en fait les deuxièmes consommateurs d’Europe, derrière les Allemands. Les Français se distinguent par leur attrait pour les jus dits "haut de gamme" : les 100 % purs jus (61 % du marché en 2016).

Bien choisir son jus de fruits

Un hypermarché en France répertorie en moyenne 194 références de jus de fruits. Il y a de quoi en perdre son latin ! Ajouts d’eau, de sucre… Il existe de réelles différences dans les catégories de jus de fruits. La réglementation française en distingue 4 :

  • Les 100 % purs jus sont obtenus par simple pressage des fruits. Il n’y a ni ajout d’eau, ni de sucres, ni d’additifs, juste des fruits. Ils se trouvent généralement au rayon frais et dans ce cas ont une date limite de conservation très courte.
  • Les jus à base de concentré sont obtenus par extraction du jus qui est concentré par évaporation et reconstitué avec de l’eau. Comme pour les purs jus, la réglementation interdit l’ajout de sucre dans les jus à base de concentré.
  • Les nectars sont un mélange de jus de fruits et/ou de jus à base de concentré et/ou de purée de fruits auquel sont ajoutés de l’eau, du sucre et/ou des édulcorants. La teneur minimum en fruits dans les nectars doit être comprise en 25 % et 50 % selon la variété de fruits. Les nectars non filtrés sont riches en fibres.
  • Les smoothies à base de fruits, nouveaux venus sur le marché des jus de fruits rencontrent un certain succès notamment dans les chaînes de restauration. Ils sont obtenus à partir de fruits mixés auxquels peuvent être ajoutés de l’eau, du jus de fruits, du sucre. Il existe aussi des recettes mélangeant fruits et légumes.

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©Christine Trant

30 août 2018

Produits sans gluten : pourquoi ils ne sont pas meilleurs pour la santé

taylor-kiser

Les produits sans gluten sont auréolés d’une aura "healthy", saine. Ces produits cachent pourtant une autre vérité et ne sont pas meilleurs pour la santé, au contraire. Le point avec le Dr Sophie Ortega, médecin nutritionniste.

Le sans gluten est partout. Longtemps cantonné aux magasins spécialisés, il s’est fait la part belle dans toutes les grandes surfaces et supérettes. A une époque où l’alimentation est une question de santé publique, le "sans gluten" séduit de plus en plus, une clientèle plutôt jeune et urbaine, au fort pouvoir d’achat, soucieuse de manger "plus sainement". La majorité des consommateurs n’ont en réalité pas besoin de consommer sans gluten pour des raisons de santé, comme c’est le cas pour les personnes souffrant de maladie cœliaque. Le marketing et quelques scandales alimentaires ont suffi à populariser le "no glu", le déclinant à toutes les sauces. Même les stars s’y mettent : Novak Djokovic et Lady Gaga notamment vantent les bienfaits d’une telle alimentation. Un discours que nuancent un peu les médecins et les associations de consommateurs, qui révèlent que leur composition est loin d’être meilleure que leur équivalent avec gluten.

Produits sans gluten : moins de fibres, plus de gras et de sucre

Les aliments sans gluten bénéficient d’une image healthy, naturelle, voire diététique alors qu’il n’en est rien. Comme le pointait du doigt le hors-série du magazine 60 millions de consommateurs de juillet 2018, ces aliments issus de l’agro-alimentaire ne présentent pas grand intérêt nutritionnel. Après tout, retirer le gluten d‘un aliment ne suffit pas à le rendre diététique ou intéressant d’un point de vue nutritionnel. Cela peut même être l’inverse : "Ces produits sont souvent riches en lipides et en sucres ajoutés, de mauvaise qualité nutritionnelle", informe le Dr Ortega. "Ils présentent les mêmes inconvénients que les plats transformés traditionnels". Dans ces recettes, le blé est aussi généralement remplacé par des farines de riz, de maïs… pauvres en fibres, vitamines et minéraux. Le magazine 60 millions de consommateurs rapporte ainsi une étude espagnole qui avait trouvé un pain sans gluten deux fois plus riche en matières grasses et trois fois plus pauvres en protéines que la version classique.

Pour compenser l’effet moelleux et liant du gluten, les industriels ajoutent de nombreux additifs, des épaississants, émulsifiants qui n’entrent pas dans la composition de la recette originelle. De plus, les farines utilisées dans les produits sans gluten présentent souvent un index glycémique beaucoup plus élevé que la farine de blé. Résultat : ces produits favorisent les libérations d’insuline et ainsi les fringales et la prise de poids.

Par ailleurs, non contents d’être sans grand intérêt nutritionnel, ces aliments sont aussi plus chers. Selon une étude de l’Université de Vienne citée par 60 Millions de consommateurs, les produits du commerce sans gluten coûteraient en moyenne 2 fois plus cher que leurs pendants avec gluten. Toutefois, l’appât du gain ne semble pas être la seule raison à cette différence de prix. La production d’aliments sans gluten impose des process précis pour éviter toute contamination ce qui représente un certain coût, la matière première pour remplacer le blé serait elle aussi plus chère.

Pour le Dr Ortega, s’il ne fallait retenir que deux choses dans la longue liste de produits sans gluten du marché ce seraient le pain et pâtes mais "uniquement pour les intolérants" car ils sont plus compliqués à faire soi-même. "Pour le reste, mieux vaut privilégier le fait maison."

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©Taylor Kiser

29 août 2018

Déo ou antitranspirant ? Le Match !

DEO OU ANTITRANSPIRANT - HEALTHY FIT 3 (1)

DEO OU ANTITRANSPIRANT - HEALTHY FIT 3 (2)

COUV HEALTHY FIT3

29 août 2018

Thermale, florale, micellaire, cellulaire : à quelle eau se vouer ?

jordan-heath-697540-unsplash

L'eau, élément vital pour la santé de l'organisme comme pour la beauté et la jeunesse de l'épiderme, entre dans la composition d’une majorité de cosmétiques. Micellaire, thermale, florale, cellulaire… Céline Couteau, docteur en pharmacie, nous en dit plus sur ces eaux qui en font plus pour notre peau.

L’eau est généralement (sauf pour les huiles et certains beurres végétaux) le premier composant d’une formule cosmétique. En beauté, c’est principalement une eau distillée ou déminéralisée qui est utilisée, une eau qui ne possède pas de propriétés particulières : "L'eau distillée est un excipient inerte qui n’a aucun effet, explique Céline Couteau, docteur en pharmacie et enseignante en cosmétologie et galénique. On préfère la remplacer par une eau thermale ou florale."

L’eau thermale

Elle est utilisée depuis la nuit des temps pour ses propriétés curatives. C’est une eau souterraine, tiède ou chaude, qui s’est enrichie en minéraux et oligo-éléments au contact des roches qu’elle a traversées avant de rejaillir à la surface de la terre. En France, la réglementation est très stricte : il est interdit de la filtrer ou de la traiter chimiquement. La composition et les bénéfices des eaux thermales varient en fonction de la nature géologique du sol qu’elles traversent.

Ses bénéfices : l’eau thermale, aux propriétés reconnues par l’Académie de Médecine, est utilisée pour ses vertus apaisantes, hydratantes, anti-inflammatoires… "L'eau thermale respecte parfaitement la peau, c’est un allié de choix dans le cas des dermatoses inflammatoires. Selon sa composition, son effet adoucissant est plus ou moins important", commente l’experte en cosmétique. Parmi les plus connues, l’eau thermale d'Avène apaise les peaux sensibles ; celle de La Roche Posay, riche en sélénium (oligo-élément puissant antioxydant), est anti-irritante, anti-âge ; l’eau d’Uriage, avec sa composition minérale isotonique, est en affinité parfaite avec la peau : ultra hydratante elle soulage de nombreuses dermatoses.

Son utilisation : elle entre dans la composition de crèmes, laits, déodorants où "elle exerce un effet apaisant." En spray, elle rafraîchit, parfait le démaquillage, fixe le make-up, nettoie la peau après l’utilisation d’une eau micellaire, apaise…

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© Jordan Heath

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Jessica Xavier
  • Journaliste presse écrite et web depuis 15 ans, spécialisée en forme/fitness, beauté et nutrition. J'écris notamment pour les magazines et sites Healthy Fit, Méditation, Le Journal des Femmes.. Auteure : Mon Cahier Hiit & Mon Cahier Gainage, Edition Solar
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